Le Pardon Intérieur : Libérer les Mémoires du Passé


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Il y a en nous des lieux silencieux…
Des chambres fermées à clé,
où dorment encore les échos d’hier,
des voix, des gestes, des absences,
gravés dans le bois tendre de l’âme.

Ces blessures du passé,
nous les avons parfois portées
comme des bijoux tristes,
comme des cicatrices qu’on caresse
pour ne pas oublier.

Mais vient un jour, un frémissement,
comme un soupir de l’âme qui en a assez,
assez de ressasser, de tendre l’oreille au passé,
assez de rester enchaîné à une douleur
qui ne demande qu’à être embrassée
pour enfin s’éteindre.

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Pardonner ne veut pas dire oublier.
Pardonner, c’est rendre la liberté à ce qui nous retient.
Ce n’est pas excuser l’inexcusable,
mais laisser tomber la corde
qui relie notre cœur à une mémoire lourde.
C’est poser les armes,
non pour les autres, mais pour soi.
C’est dire : « Je ne veux plus souffrir pour ce qui est terminé. »

Le pardon intérieur est un acte d’amour.
Un geste sacré.
Un choix de vie.

Il commence par l’écoute…
Écouter cette partie de nous qui pleure encore.
Lui dire : « Je te vois. Je t’ai laissée seule trop longtemps. Viens. »
Puis l’enlacer doucement,
comme on console un enfant fatigué.

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Et dans cet espace de tendresse,
le passé s’adoucit.
Il ne disparaît pas,
mais il cesse de faire mal.

Alors, une paix nouvelle s’installe.
Un souffle plus léger.
Un regard tourné vers demain,
libéré du poids d’hier.

Et l’on comprend…
Que le pardon n’est pas un point final,
mais une ouverture.
Une fleur qui s’ouvre,
au cœur même de la cicatrice.

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