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Il y a des silences qui parlent plus fort que les cris.
Des regards qui glacent plus qu’un vent d’hiver.
Et puis il y a toi… et les ombres que tu caches si bien derrière ton sourire poli.
Je les sens.
À chaque mot que je pose, à chaque souffle que je prends, elles frémissent.
Comme si mes paroles éveillaient une mémoire ancienne en toi.
Comme si, malgré toi, quelque chose cherchait à remonter à la surface.
Un pont se forme…
Tu ne le vois pas, mais tu le ressens.
Entre mes mots et tes ombres, une vibration.
Subtile.
Hypnotique.
Un frisson léger qui court le long de ta nuque lorsque tu m’écoutes.
Ce n’est pas de la peur… pas tout à fait.
C’est ce moment exact où ton inconscient reconnaît qu’il est temps de parler.
Ou plutôt… de laisser parler autre chose.
Ce que tu n’as jamais osé nommer.
Les ombres ne sont pas des ennemies.
Elles sont les gardiennes de tes douleurs, de tes colères, de tes silences avalés depuis trop longtemps.
Et mes mots, eux, ne viennent pas pour les combattre.
Ils viennent danser avec elles.
Les inviter à la lumière.
Doucement.
Respectueusement.
Comme on réveille un enfant qui a fait un cauchemar.
Ce pont invisible, c’est la rencontre entre ton monde intérieur — écorché, perdu, parfois brisé —
et ma voix qui t’appelle sans te juger.
C’est l’alliance étrange entre ta noirceur et ma lumière.
Entre ta peur et ma présence.
Tu frissonnes…
Car quelque chose en toi s’ouvre.
Et dans cette ouverture, une nouvelle respiration se fait.
Moins lourde.
Moins douloureuse.
Plus libre.
Alors laisse ce pont se construire.
Laisse mes mots effleurer tes ombres.
Car de cette étrange alchimie naît une vérité que tu ne soupçonnais plus :
Tu n’as jamais été seul.
Et ce que tu redoutais le plus… est peut-être ce qui va te libérer enfin.


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