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Il y a des phrases qu’on oublie.
Et puis… il y a celles qui restent.
Pas parce qu’elles sont belles, mais parce qu’elles vous transpercent.
Ce jour-là, j’étais persuadé de “savoir qui j’étais”.
Je me croyais solide, intouchable, debout dans ma vie comme un arbre centenaire.
Et puis quelqu’un m’a regardé droit dans les yeux… et m’a demandé la question.
« Si tout ce que tu crois sur toi était faux… qui serais-tu vraiment ? »
Je n’ai pas répondu.
Pas parce que je ne voulais pas… mais parce que je ne pouvais pas.
Mon cerveau cherchait… mon cœur tremblait… et, pour la première fois depuis longtemps, je me suis senti nu.
Le poison invisible
Je me suis rendu compte ce jour-là que je vivais avec un poison silencieux :
Les histoires que je me racontais sur moi.
Celles qu’on m’avait imposées depuis l’enfance… et que j’avais acceptées sans jamais les questionner.
- « Tu es comme ça. »
- « Ce n’est pas pour toi. »
- « Il faut que tu sois fort. »
J’avais bâti ma vie entière sur ces phrases…
Sans jamais me demander si elles étaient vraies.
L’addiction que personne ne nomme
Sais-tu quelle est la plus grande drogue de l’humanité ?
Ce ne sont pas les écrans, ni le sucre, ni la nicotine.
C’est l’addiction à notre propre histoire.
On préfère rester dans une douleur connue… plutôt que de plonger dans l’inconnu de notre vraie liberté.
Parce que, là-bas, il n’y a plus d’excuses.
Plus de masque.
Seulement nous… face à nous-mêmes.
Et toi ?
Depuis ce jour, cette question est devenue mon fil rouge.
Chaque fois que je me sens perdu, que je doute, que je m’enferme… je me la pose.
Elle ouvre des portes que je croyais murées à jamais.
Elle me rappelle que je ne suis pas l’histoire que je crois.
Je suis bien plus vaste.
Et toi…
Si tout ce que tu crois sur toi était faux… qui serais-tu vraiment ?
Ferme les yeux. Respire. Laisse la question entrer. Mais attention… une fois qu’elle aura planté sa graine en toi… il sera impossible de revenir en arrière.


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