La Bataille Silencieuse des Portes Closes


Publicités
Publicités
Publicités
Publicités
Publicités
Publicités

accepter accueillir aide amour apaiser au-delà avancer bien-être blessure bruit bénéfique cacher changement changer chemin chuchoter coeur colère comprendre confiance conscience conversation conversation hypnotique corps croire cœur douleurs entendre esprit essentiel exister expériences force frisson frissons fuir habitude hasard histoire illusion inconscient intuition intérieur invisible invitation libérer lumière masque mental miroir moral mots murmure nuit ombre ombres oser oublier ouvrir paix parler passé perdre personne peur pouvoir présence refuser regard respirer ressentir ressentis retrouver réalité rôle sensation silence silencieux simple société soi solution souffle soutien souvenir subtil temps toi-même transformer vide vie voix vrai vérité âme échange écoute écouter émotions étrange

Publicités

Chaque soir, dans chaque maison, une guerre éclate.
Une guerre que personne ne voit.
Une guerre dont personne ne parle.

Publicités

Quand les gens rentrent chez eux, la façade tombe.
Le sourire professionnel, les conversations creuses, les « ça va, merci » s’effondrent comme des masques de cire sous la chaleur d’un enfer invisible.
La porte se ferme.
Et derrière elle… quelque chose s’éveille.

Publicités

C’est un souffle, d’abord. Léger.
Un murmure qui rampe entre les murs, glisse sous le parquet, se faufile dans les recoins de la mémoire.
Il chuchote les phrases qu’on a voulu oublier :

Publicités

« Tu n’y arriveras pas. »
« À quoi bon ? »
« Regarde toi. »

Publicités

Ce n’est pas un démon.
Ce n’est pas un fantôme.
C’est toi-même, fragmenté, éclaté, éparpillé dans les souvenirs d’une journée trop lourde pour être vécue.

Publicités

Alors la bataille commence.
Certains allument la télé pour couvrir le vacarme intérieur.
D’autres défilent sur leur téléphone jusqu’à ce que leurs yeux brûlent, espérant noyer la voix dans le bruit du monde.
Mais l’ombre est patiente. Elle attend.

Publicités

À 2h37, quand tout dort, elle se redresse.
Et dans la pénombre, elle s’assoit sur le bord du lit, le regard vide, le souffle froid.
Elle chuchote encore :

Publicités

« Demain, tout recommence. »

Publicités

C’est là que la véritable horreur s’installe :
Pas dans les cris, ni dans le sang.
Mais dans cette répétition…
Ce cycle sans fin où chaque matin, on ressuscite son propre fantôme pour l’emmener au travail, au supermarché, au rendez-vous.
Chaque soir, on le ramène à la maison.
Et on recommence.

Publicités

Ce n’est pas la société qui tue les gens —
C’est le silence qui les dévore lentement, un soupir après l’autre.

Publicités

Alors, si tu lis ces lignes ce soir, demande toi :
Quand tu rentreras chez toi, quand tu fermeras la porte…
Est-ce vraiment le monde extérieur que tu laisses dehors ?
Ou est-ce que tu t’enfermes, seul, face à la créature que tu es devenu ?

Publicités
Publicités
Publicités
Publicités
Publicités

Votre avis compte !

Pour mieux comprendre vos besoins et vous proposer des contenus toujours plus proches de vos attentes, merci de répondre à ce petit sondage :

Cet article vous a-t-il été utile ?

  • Oui, il m’a apporté une prise de conscience
  • Oui, mais j’aimerais aller plus loin sur ce sujet
  • Non, je n’ai pas trouvé ce que je cherchais

(Optionnel) Vous pouvez partager votre ressenti ou votre suggestion dans les commentaires ci-dessous.

Laisser un commentaire

En savoir plus sur Conversation hypnotique

Abonnez-vous pour poursuivre la lecture et avoir accès à l’ensemble des archives.

Poursuivre la lecture