Le silence m’a dit ce que les vivants ne pouvaient pas


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Il y a des vérités que les mots ne peuvent porter. Des réponses que personne ne peut formuler. Et parfois, ce sont les bruits du monde, les voix autour de nous, qui nous éloignent de ce que notre cœur cherche à entendre.

Un jour, épuisé par les discours, les conseils, les « tu devrais », les « il faut », les jugements et les inquiétudes masquées d’amour, j’ai décidé de me taire. Non pas pour bouder le monde, mais pour enfin l’écouter autrement. Et c’est là que le silence m’a parlé.

Le silence ne donne pas de leçons. Il ne corrige pas. Il accueille.

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Dans ce vide sonore, j’ai entendu les battements de mon propre cœur. J’ai perçu les tensions dans mon corps, les souvenirs enfouis, les émotions mises sous cloche depuis trop longtemps. Le silence m’a dit :

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« Voici ce que tu ressens, voici ce que tu évites. Écoute-toi enfin. »

Les vivants autour de moi, avec tout leur amour ou leur maladresse, n’avaient pas su me dire cela. Parce qu’eux-mêmes fuient souvent leur propre silence, leur propre vérité.

Le silence m’a révélé mes blessures, non pour me faire souffrir, mais pour que je les reconnaisse, que je les prenne dans mes bras. Il m’a murmuré que je n’étais pas cassé, seulement éparpillé. Et que j’avais en moi de quoi me rassembler.

Là où les vivants parlaient de réussite, de normalité, de performance, le silence me parlait de paix, de lenteur, de justesse.
Là où les autres projetaient leurs peurs sur mes choix, le silence m’a montré mes vraies envies.

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Le silence est devenu mon refuge, puis mon guide.
Pas un silence de fuite, mais un silence de présence.
Un silence habité. Vivant. Vibrant.

Aujourd’hui encore, quand tout devient trop bruyant – dehors comme dedans – je retourne à lui. Je ferme les yeux, je respire, et j’écoute. Et toujours, il me dit l’essentiel. Il me rappelle que tout ce que je cherche est déjà là, en moi, prêt à émerger dès que je cesse de vouloir tout contrôler.

Alors si tu te sens perdu, si tu ne sais plus qui croire, commence par te taire.
Non pas pour te taire à jamais, mais pour t’entendre enfin.

Le silence te dira ce que les vivants ne peuvent pas.

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