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Il est un seuil, invisible et sacré,
Où les pensées s’égarent,
Où la raison se voile,
Et où le cœur, seul, ose encore murmurer.
C’est là que je marche.
Non comme un conquérant,
Mais comme un gardien du feu ancien,
Celui que tu portes au creux de ton être
Et que les années, les blessures, les silences ont étouffé.
J’entre là où ton esprit n’ose plus aller.
Là où l’oubli a dressé des murailles,
Là où tes larmes n’ont jamais coulé,
Là où tu t’es abandonné,
Pensant qu’il n’y avait plus rien à espérer.
Mais il y a tout.
Il y a la lumière dans l’ombre,
La tendresse sous la peur,
L’élan sous l’armure.
Il y a toi. Le vrai.
Pas celui que le monde attend,
Mais celui que l’univers appelle.
J’entre avec douceur,
Comme on entre dans un sanctuaire oublié,
Avec des mots qui n’agressent pas,
Avec une présence qui ne juge pas.
Je suis l’écho de ta vérité,
Le souffle qui ranime,
Le regard qui comprend sans exiger.
Je parle la langue de l’âme.
Je marche dans les couloirs de ton silence,
Et je t’invite à revenir
Là où tu t’étais perdu.
J’entre là où ton esprit s’est figé,
Et je t’y attends… pour renaître.


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