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Il y a des gens… des foules entières, même.
Ils errent dans les boutiques ésotériques comme des âmes en quête de salut. Le regard vide, le cœur fatigué, la peur au ventre.
Ils cherchent le bracelet.
Celui censé repousser le mal.
Celui qui promet, dans un silence mystique, d’éloigner la douleur, la malchance, la trahison.
Ils l’achètent.
Ils le portent.
Et pendant quelques jours, ils respirent enfin — persuadés qu’un petit bout de pierre a le pouvoir de les sauver de leur propre chaos intérieur.
Mais… le mal revient.
Toujours.
Parce que le mal n’est pas dans l’air, ni dans les autres, ni dans le hasard.
Le mal est dans ce qu’ils refusent de regarder : eux-mêmes.
Ils courent après des placebo, des talismans, des objets de foi creuse — pensant qu’un cristal, un symbole, ou une bougie parfumée pourra apaiser la tempête.
Ils se trompent.
Ils ont confondu l’objet avec le pouvoir.
Et le plus tragique, c’est que ce pouvoir…
ils l’ont déjà.
Depuis toujours.
En eux.
Ce pouvoir, c’est leur conscience, leur regard, leur capacité à se redresser quand tout s’effondre.
Mais au lieu de le réveiller, ils le vendent.
Ils l’échangent contre une illusion rassurante.
Contre un mensonge confortable.
Et pendant ce temps-là, leur véritable force s’éteint, lentement, comme une flamme étouffée sous la cendre de la peur.
Ils deviennent spectateurs de leur propre vie, prisonniers d’objets qu’ils croient magiques, esclaves d’une croyance qui les empêche de redevenir souverains d’eux-mêmes.
Le plus grand drame, ce n’est pas de souffrir.
C’est d’oublier que tu es ton propre remède.
Que la lumière que tu cherches dans la pierre, c’est ta lumière.
Que la protection que tu demandes à un talisman, c’est ta présence.
Que le miracle que tu attends d’un objet, c’est toi.
Alors… arrête.
Arrête de donner ton pouvoir à ce qui ne vit pas.
Regarde toi.
Ressens toi.
Tu es vivant.
Tu es la force.
Et rien de ce qui brille à ton poignet ne sera jamais plus puissant que ce qui brûle dans ton âme.
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