L’obsession nous empêche de lever la tête et de regarder autour de nous


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Si tu te reconnais dans ces lignes, ce n’est pas un hasard.
Et si ça te met mal à l’aise, c’est que ça te concerne.

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L’obsession ne te protège pas.
Elle te neutralise.

Elle te garde occupé pour éviter que tu sentes le vide.
Elle te fait tourner en boucle pour ne pas que tu regardes ce que tu fuis.
Elle te parle sans arrêt pour que tu n’écoutes jamais ce qui hurle à l’intérieur.

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Tu dis que tu réfléchis.
En réalité, tu t’étouffes.

Tu revis la même scène.
Tu refais les mêmes dialogues.
Tu cherches la bonne réponse, le bon moment, la bonne décision.

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Mais la vérité est plus brutale :
Tu as peur de t’arrêter.
Parce que t’arrêter, ce serait sentir.
Et sentir, tu n’en as plus l’habitude.

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Alors tu t’acharnes dans ta tête.
Tu contrôles.
Tu analyses.
Tu anticipes.

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Et pendant ce temps-là, ta vie se rétrécit.

Tu es là sans être là.
Présent physiquement, absent intérieurement.
Ton regard est vide. Ton corps tendu. Ton souffle coupé.

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Regarde-toi honnêtement.
Quand as-tu vraiment levé la tête pour la dernière fois ?

Pas pour scanner un danger.
Pas pour vérifier.
Mais pour voir.
Pour ressentir.
Pour être vivant.

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L’obsession t’a volé ta capacité à faire confiance.
À la vie.
Aux autres.
À toi-même.

Tu crois que si tu lâches, tout va s’effondrer.
Mais ce qui s’effondre déjà, c’est toi.

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Tu t’endors épuisé.
Tu te réveilles tendu.
Tu avances par automatisme.

Et le plus dérangeant ?
C’est que tu t’es habitué à cet état.
Tu l’appelles « normal ».

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Ce n’est pas normal.
C’est une alarme que tu ignores.

L’obsession est une anesthésie lente.
Elle ne te fait pas crier.
Elle t’endort.

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Et pendant que tu rumines,
la vie passe à côté de toi sans te demander ton avis.

Des gens t’aiment et tu n’es pas disponible.
Des moments précieux disparaissent et tu ne les verras jamais revenir.
Ton corps encaisse ce que ton mental refuse d’écouter.

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Un jour, il n’en pourra plus.
Et ce jour-là, tu diras :
« Je n’ai pas vu venir. »

Si.
Tu as vu.
Mais tu n’as pas levé la tête.

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Ce texte n’est pas là pour te faire peur.
Il est là pour te mettre face à toi.

Parce que lever la tête, ce n’est pas réfléchir davantage.
C’est accepter de ressentir ce que tu fuis depuis trop longtemps.

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Et tant que tu restes obsédé,
tu n’es pas en train de vivre.

Tu es en train de passer à côté.

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Khalid – une rencontre qui éclaire la vie.

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